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Il était donc prévu de nous rendre sur les hauteurs de Coursegoules, jusqu’au sommet du Vieriou en ce magnifique dimanche d’automne. Le temps pour tout le monde de trouver le bon parking, malgré les indications fort précises qui avaient été communiquées (avec dessins, plan, coordonnées GPS et photos du parking) et nous voici tous ensemble, le petit groupe d’environ 20 personnes avec le retour de Sylvie en passagère joëlette.

Dès les premiers mètres on comprends que la journée va être longue. C’est par une enfilade de marches d’escalier que nous attaquons la montée. L’équipage progresse par à-coups, avec 3 pilotes à la corde.

Au fur et à mesure que nous avalons le sentier, le plateau de Saint Barnabé se découvre, le village de Coursegoules en contre-bas. Nous rencontrons, Jean-Claude, le sympathique cavalier venu de Gréolières. C’est l’occasion de faire une petite pause près de la source, histoire de bavarder un petit peu avec notre nouvel ami.

Mais ce n’est pas tout, il faut reprendre la marche si nous voulons atteindre le sommet du Vieriou pour le piquenique.

Le sentier atteins enfin la crête, la croix du sommet est en vue. Quelques dizaines de minutes plus tard tout le monde est regroupé, vue sur les sommets du Mercantour d’un côté (je te dis que c’est l’Argentera, et celui-ci le Mounier, …), et sur la mer de l’autre. Une belle pause déjeuner bien méritée, on fait tourner les morceaux de quiches, les œufs durs, les parts de cakes avec des choses bizarres dedans, et même un vin chaud amené par notre chère Christelle. Ah, on resterait bien là, allongé dans l’herbe toute l’après-midi. Mais la dure réalité nous rattrape, il est temps de lever le camp.

Les crêtes c’est, comment vous dire, beau, oui, mais pas que. La zone karstique n’est pas le terrain de prédilection de la joëlette. Les lapiaz s’enchainent, obligeant au portage plus qu’au roulage. Si en plus, c’est en montée, ça devient un poil fatiguant.

Apres quelques heures d’effort à regarder où on mets les pieds et la roue plus qu’à admirer les dolines et le Cheiron tout proche, nous parvenons au bout des crêtes et redescendons le sentier muletier qui mène au village. Petit arrêt à la chapelle Saint-Michel.

Puis le petit groupe termine à la fontaine, et certains même au bistrot de Coursegoules ou d’ailleurs…

 

 

 

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One response

  1. C’était ma première randonnée avec vous, un peu physique, mais pleine de bonne
    humeur et de soleil. Je vous remercie votre accueil et ce partage.
    A bientôt de vous retrouver.
    Amitiés
    Jocelyne

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