Toutes les photos et vidéos: https://goo.gl/photos/uQ9XQYdkUnuVxeBU8

Descriptif du séjour: http://www.osonsladifference.org/event/osons-la-difference-en-corse/

Prologue

Il paraît que le 21 mai 2017 le séjour Corse, pensé-organisé-réorganisé depuis des mois, commence… Le début d’une aventure pour les uns, la consécration d’un projet pour d’autres.

Alors, le samedi 20 mai au soir, certains ont pris les deux mini-bus surchargés, ont rejoint Toulon pour embarquer sur le ferry avec un bel apéro sur un coin de port, puis sont arrivés à Ajaccio au petit matin du dimanche 21… presque sages paraît-il !!

L’équipe d’Osons la Différence investit doucement le Centre du Sport de de la Jeunesse de Corse (CSJC, ex-CREPS).

Ce jour-là, d’autres ont pris l’avion depuis le grand Est pour rejoindre l’île de Beauté. Pascal a fait Uber toute la journée pour les premiers voyages, les suivants et les deux dernières retardataires, assistantes en chef de l’organisateur, qui se sont faites attendre…

 

Les matinaux ont connu leurs premières sensations avec Stéphane en Quadrix, Cimgo et VTT. Jean-Christophe a montré ses talents de cascadeur et téméraire, histoire de donner le tempo aux prochains jours : il passe sans casse ! D’autres ont choisi de s’attarder dans les rues de la citadelle Ajaccienne pour flâner avant le début des efforts… certainement bien inspirés, sans trop s’en douter.

Un premier dîner tous ensemble au CSJC pour faire connaissance, un verre d’aspérule odorante et du vin blanc alsacien pour délier les langues, la distribution des T-shirts Osons La Différence en Corse que nous porterons toutes et tous jeudi, point d’orgue de nos randos sportives et spectaculaires. Spéciale dédicace à Marion pour le logo, merci Octopus le donateur.

 

Le programme du lendemain est expliqué, cela deviendra le rituel des prochains soirs. Première veillée de bavardage calme, presque timide, sur le parking tandis que d’autres ont rejoint leur chambre.

Le CSJC s’endort au son des jeunes sportifs, l’équipe Osons La Différence se réserve pour la suite !

 

Lundi 22 mai

Les choses sérieuses débutent. Le timing est serré (merci les filles qui mettent la pression!), le départ presque à l’heure en mode Tétris pour faire rentrer tous les sacs et malles dans les coffres.

Quelle chance, la météo est des plus agréables pour entamer ce séjour!

Nous partons pour une randonnée au départ du Col de Canareccia vers la plage de St-Antoine. Nous débutons sur un petit sentier étroit ombragé (heureusement car la chaleur est déjà lourde), alternons quelques montées et descentes pour arriver sur la plage, et une magnifique paillote (où l’eau n’est pas potable, magnifique mais pas accueillante, la paillotte).

La plage est jonchée d’algues sèches, pas de pique-nique sur le sable… Nous nous installons dans une petite crique, d’où nous pouvons nous régaler les yeux de l’eau transparente et paisible, tandis que nous régalons nos ventres des nombreuses spécialités amenées avec plaisir par chacun : la charcuterie alsacienne, les fromages qui embaument et autres délices gastronomiques, confection maison ou découverte locale, dont les chips à la Socca de Pierre, qui feront le plaisir de nos pique-niques et apéro du soir! Un bain rapide pour certains, une sieste pour d’autres et nous repartons par le chemin de la Corniche. Armelle, Pascal, Pierre-Henri et se détachent du groupe pour 45 minutes, (45mn ”à la Pascal”, entendez-donc 1h30 bien sonnées!), récupérer les véhicules pendant que le reste de la troupe avance sur ce sentier au panorama splendide.. les îles Sanguinaires sous tous les angles et la mer bleu sombre ou bleu turquoise en écrin.

Pause glace, démontage des joëlettes, pause sieste (improbable) pour Roger, et nous remontons dans les véhicules pour 2 heures de route, (dont un arrêt orthopédique inespéré pour Jean-Paul, qui a voulu tenter la rando sans semelles, trop facile sinon), direction Marignana, chez Paul, où nous prenons nos quartiers pour 3 nuits.

Première soirée, un bel apéro en terrasse pour goûter la Pietra avec nos spécialités à peine entamées, une vue magnifique sur la mer entre deux reliefs, l’âne qui ponctue avec pertinence certaines blagues ou réparties.

Le menu Corse se prépare en cuisine .. typique, à la Paul (ou à la Sissou??)… soupe à la nepita (menthe sauvage du maquis Corse), gratin d’épinards, omelette à la farine de châtaigne et beignets improbables à la farine et à l’huile…

Pour les plus hardis, la soirée se prolonge avec le Clan local et quelques alcools initiatiques.

Le retour en dortoir est hilarant pour certains, le pacte est lié (“BONNE NUIT! Hi hi hi hi hi .. hein Sissou?!”).

On se découvre sous des angles inattendus (notamment : qui ronfle?) et la cohésion du groupe se forme.

 

Mardi 23 mai

Départ du gîte, bon-pied bon-œil (un peu rougi, selon la nuit) pour la randonnée vers Bocca di Femina Morta (Col de la Femme Morte), nom peu engageant certes, mais chaque région montagnarde a son “femina morta”, alors on relativise …

Les ânes nous accompagnent au départ, Sheela s’en souvient encore !

L’aller n’est qu’une grande et longue montée par une piste, sous les châtaigniers protecteurs du soleil déjà très présent.

Un premier panorama sur la mer s’ouvre à nous mais nous décidons de prolonger jusqu’au col tout près paraît-il… (ceux qui savent l’estimation temporelle de Pascal resteront en vigilance pour un plan B).

Le terrain est pierreux, on progresse dans un maquis ensoleillé et la joëlette est plus portée que roulante…au bout d’un moment, les ventres agités et les membres fatigués nous font comprendre que le col restera trop loin et trop physique à atteindre, nous faisons alors demi-tour. Valérie fatiguée accueille avec plaisir l’assistance d’une joëlette (ou alors c’est par gourmandise !). Les allers-retours en joëlette se répartissent entre JC, Corinne et Valérie,  avant une pause pique nique à l’ombre (miracle d’en avoir trouvé dans ce maquis dense et raz), bien méritée. Le retour en descente est rapide et finalement nous revenons assez tôt au gîte. Certains décident de prolonger le plaisir en allant jusqu’à Evisa, voire plus loin, en courant, en trottinant ou en marchant et prendre quelques photos (17 minutes dirait Sylvain). D’autres préfèrent partager un moment de convivialité ou de repos au gîte. La soirée se prolonge en apéro rituel puis dîner autour de Sauveur notre conteur et chanteur du soir, accompagné de Vincent son frère guitariste.. Certains de nos amis randonneurs décident de pousser la chansonnette et c’est plus ou moins réussi.. le style est varié et les berceuses succèdent aux chansons paillardes. Thierry a apprécié de réviser un peu.

Le cadeau de remerciement offert par tout le groupe et Osons La Différence est remis à Pascal: un baptême de parapente, revanche de coeur palpitants!

Les dos commencent à tirer, Thérèse s’improvise en masseuse officielle de fin de repas, les tensions se relâchent, repues et détendues, prêtes à accueillir le parcours des doigts magiques…cela deviendra un rituel réclamé (voire supplié) chaque soir, merci de ce soin fidèlement apporté, Thérèse ! (elle sera parfois relayée par Armelle, Gérard et Pierre, au fil du séjour les candidats aux séances se multiplient).

Malgré cette excellente soirée, la nuit a été dure et longue pour un des dortoirs : Valérie et Pascal semblent maîtriser parfaitement le relais des chants nocturnes … les toussotements, sifflements, raclements n’y font rien.
Abonnement aux boules-quiès préconisé!

 

Mercredi 23 mai

La journée d’hier a été éprouvante, alors nous choisissons une randonnée dite facile pour aujourd’hui: le chemin des châtaigniers en direction de la forêt d’Aïtone et ses piscines naturelles.

Valérie veut économiser ses forces pour demain, nous lui proposons la 3ème joëlette pour cette sortie, nouvelles sensations (pas toujours confortables!) pour elle.

Nous progressons à l’ombre, au milieu des cochons, des châtaigniers et des pierres. Le qualificatif facile s’avère plutôt un euphémisme mais on se soutient. La pause à la rivière est bienvenue, l’eau est froide (moins de 10 degrés), le décor est splendide. Certains choisissent courageusement de se baigner (les alsaciens surtout, mais Aude et Thérèse n’ont rien à leur envier), d’autre subisse le bain… toute habillée… devant un public totalement admiratif mais passif  (aucune solidarité de bain, quelle déception!)… le retour se fera alors en short mouillé et pull à manches longues. Par 30 degrés c’est un peu juste, Yvette propose gentiment de prêter sa polaire .. “mais oui Gaëlle juste 10mn”… Non merci…

Le retour se fait rapidement par le même sentier, une petite course s’improvise à l’arrivée au village, Valérie remporte haut la main le podium, fort probable que son équipe ait été boostée par ses éclats de rire énergisants!!!

Bravo à Elisabeth qui a essuyé sa 1ère chute, saine et sauve.

Le goûter glaces en terrasse est apprécié. Certains repartent pour le gîte à pied ou en courant, Aude est la plus courageuse, sur le sentier emprunté par Gaëlle, Sylvain et Frédéric la veille.

Les plus motivés décident de prolonger l’après midi à Porto.. 30 (longues) minutes de route sinueuse pour descendre en bord de mer. Porto, petite ville touristique, ne présente pas de charme particulier mais le spectacle offert par la nature compense la déception et fait vivre à Valérie de belles émotions.

D’autres se posent en terrasse et bavardage, l’environnement s’y prête naturellement.

Nous poursuivons la soirée autour de la table de Paul à laquelle s’est rajoutée la petite famille de Pierre-Henri et Stéphane du CSJC, partants pour prêter main forte à l’étape du lendemain.

Roger a même recruté Maryline, une alsacienne venue se perdre sur les sentiers corses, qui accepte volontiers de se joindre à l’aventure.

 

Jeudi 25 mai

La journée à été annoncée comme sportive et elle a tenu toutes ses promesses. Nous sommes partis de chez Paul en direction de Curzu pour entamer LA journée du séjour, celle du dépassement, celle des émotions qui finira de sceller un groupe déjà bien soudé. Nous partons vers 11h, après 1h de route et commençons par une montée qui ne cessera que 2h30 et 500m de dénivelé positif plus tard. Peu de roulant beaucoup de portées, des pentes pouvant aller à 45% selon certains. Les cordes, les côtés, les porteurs de joëlette et de sacs, tout le monde est mobilisé. Valérie a pris de l’avance avec sa fidèle équipe. Roger a compris le piège de la journée et a choisi aujourd’hui de la guider. Arrivés au sommet c’est l’heure du pique nique, à l’ombre des chênes, certains tentent une petite sieste mais le réel repos sera pour plus tard… il reste encore, doux euphémisme, quelques pierres à passer.

Nous repartons sur la crête… les premières difficultés s’annoncent mais se gèrent. Un passage “un peu délicat”, sur les fesses pour Jean Christophe, en apnée pour Corinne mais une fois encore la solidarité et le professionnalisme de tous permettent aux joëlettes de passer là où personne ne l’aurait imaginé.

La cohésion est de mise : Roger est appelé à laisser Valérie continuer avec ses accompagnatrices pour rejoindre le groupe des joëlettes et compléter les biscotos nécessaires.

La redescente est tout aussi pierreuse et longue. Un bras de joëlette cède sous la pression mécanique des forces en présence, la réparation s’organise par les esprits aguerris et bricoleurs, l’essentiel est de terminer la journée avec ce matériel … ça tient, on repart !

Tout le monde est éreinté à l’arrivée à Bocca a Croce (col de la Croix) mais fier d’avoir franchi ce col et pu apercevoir entre deux « traction – tension – on tire, marche, 1-2-3 portez, stop, ça bloque, pierre à droite, rigole à gauche »… un panorama brumeux mais splendide.

On se félicite, on partage un verre, voire deux, on navigue entre sourires et regards voilés de fatigue, la photo souvenir du groupe se fera là, avant de reprendre les véhicules, on a partagé de sacrées émotions !

Le gîte de ce soir, l’Alivi, se trouve au bord de la rivière Fango (les vasques fraîches feront la joie des baignades matinales du lendemain, n’est-ce pas Aude) et présente beaucoup de charme même si l’accessibilité pose quelques soucis. Le délicieux repas est bienvenu pour nos randonneurs affamés, la nuit l’est tout autant pour les organismes fatigués. Jean Marie aimerait raisonner Jean Christophe qui souhaite ajouter un peu de rythme à la chambrée mais ce dernier reste sourd aux douces paroles de son voisin.

Dommage pour les occupants du dortoir, il paraît même que certain(e)s ont déserté…. (Déception-bis, l’une des hémisphères se reconnaîtra)

 

Vendredi 26 mai

Journée plus touristique aujourd’hui? Enfin il paraît..! Un premier groupe prend le bateau à Galeria pour naviguer au cœur de la réserve de Scandola jusqu’à Girolata avec Serge le Capitaine, marin le matin, guide touristique à ses heures perdues, et supporters du FC Bastia.. il n’aime pas notre slogan.. parce que pour lui il n’y a aucune Différence.. n’est-ce pas Frédéric?… bon à part les niçois bien sûr !

Le deuxième groupe se la coule douce sur la plage de Galeria alternant bains de mer et bains de soleil.

Et pendant ce temps là…

Trois fous ramènent les véhicules au Col de La Croix pour l’arrivée, chaussent les baskets de Trail et foulent d’un pas rapide (enfin pas tous, paraît il…) le sentier menant à  la plage et au village de Girolata accessible uniquement à pieds ou en bateau. L’arrivée se fait bien avant le bateau et cela mérite une pause rafraîchissement sur la plage au cours de laquelle nous rencontrons Philippe, guide de Argos venu certainement vérifier que ses camions, garés plus haut, étaient toujours en état de fonctionnement…

Le premier groupe arrive, ravi. Sa mission: rejoindre le parking du Col de La Croix par le sentier du facteur (mais oui Pascal ça passe…). Pas sûr paraît-il… Les 3 rando-traileurs embarquent pour aller chercher les galériens restés au port sous la responsabilité de Jean-Marie promu Chef de groupe.. sans trop avoir compris qui il devait attendre…

La traversée est splendide. La synchronisation des effets spéciaux est maîtrisée, les balbuzards, chèvres et autres merveilles s’animent au bon moment. Les rochers laissent libre cours à toutes les imaginations.. même les plus surprenantes.

Oui oui Jean-Marie il y a bien une tête de cochon, deux amoureux qui s’embrassent, la Corse et ces bouses de vaches séchées ce sont bien des… rochers..

Serge le Capitaine du bateau ne sait plus trop quoi dire face à cette équipe complètement déjantée.

Le deuxième groupe débarque à Girolata à 15h passées et, fort de l’expérience des premiers, décident d’emprunter l’itinéraire bis: une longue ascension pierreuse avant de redescendre à la plage de Tuara. Une mini pause le temps d’une baignade forte agréable puis nous reprenons la joëlette impatients de regagner notre demeure du soir.

Les organismes sont épuisés et le retour semble interminable. Comble d’infortune la buvette est fermée à l’arrivée.

Vite démontée, la joëlette est embarquée, les passagers ne se font pas prier. Playlist improvisé comme un contraste avec le silence régnant parmi les randonneurs.

30 minutes de route pour rejoindre Serriera et Régine notre généreuse et charmante hôte du soir.

Comme chaque soir, chacun choisit sa chambre non sans difficultés… puis vient le temps de l’apéritif et du dîner qui clôturera ce séjour.

Épicurien,  convivial, chantant,  émouvant, ce dîner aurait duré jusqu’au bout de la nuit comme pour prolonger cette semaine exceptionnelle, retarder le clap de fin des émotions, du partage, de l’effort, du dépassement de soi, de la cohésion, comme une parenthèse dans ce monde parfois rude.

Roger et Gérard rejouent Roméo et Juliette version moderne, le village en profite.

Retour à la réalité, Régine nous met dehors et nous prie de baisser le son… il paraît que l’on parle fort.

 

Le ciel est magnifique, Osons La Différence a fait les choses en grand pour cette dernière soirée: les lumières du village ont été éteintes, une multitude d’étoiles (combien déjà Sylvain?) parsème le ciel, la Voie Lactée se devine et pour les plus attentionnés plusieurs étoiles filantes ajoutent un peu de magie.

Valérie aura la chance de voir à nouveau un beau ciel étoilé.

 

Le lendemain sonne le départ, il est fastidieux. Le copieux petit déjeuner au lever du soleil n’aide pas à se presser.

Première étape à Ajaccio après 2h de route pour une pause touristique puis les départs se succèdent , aéroport, gare ou port.. chacun son moyen de transport.

L’aventure se termine en Corse mais se poursuit dans les têtes de toutes et tous .

 

Mais tout ça n’est que paroles. « Cette belle histoire. Des mots faciles des mots fragiles. C’était trop beau.

Mais c’est fini le temps des rêves

Les souvenirs se fanent aussi

quand on les oublie »

Alors tâchons de ne pas oublier cette semaine, les bons moments comme les plus difficiles, les plus conviviaux comme les plus ennuyants (qui a dit énervants?), tâchons surtout de ne pas oublier la générosité de chacun, la bonne humeur, la solidarité, la cohésion, l’envie de se dépasser pour que Valérie, Corinne, Jean Christophe et chacun d’entre nous aillent toujours plus loin…

Yvette nous a montré qu’un handicap peut disparaître aux yeux de tous par la volonté d’y arriver, gloire discrète dont nous restons admiratifs.

 

Si le séjour a été si plaisant à relater, si cette semaine a été si agréable à partager, si nous sommes tous rentrés avec quelque chose de différent, il faut aussi remercier :

 

Stéphane qui nous a aidés dans l’organisation,

Marylin et ses toutous,

les nouveaux amis qui nous ont rejoint sur les sentiers (James, Didier, Gilles, Cathy, Maryline, …),

 

le CSJC d’Ajaccio,

Paul de Marignana et son équipe du gîte Ustaria li a Rota,

le gite l’Alzelli à Tuarelli,

Régine du gîte l’Alivi de Serriera,

pour leur accueil, leur générosité et leur compréhension.

 

Philippe, d’Argos, pour ses camions si typiques,

 

Serge et Eliane pour la mini-croisière à travers Scandola,

 

et chacun d’entre vous pour avoir fait de ce séjour Corse une nouvelle belle réussite dans la vie de votre association.

À très bientôt pour de nouvelles aventures, nous l’espérons.

 

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One response

  1. plein de mots me viennent à l’esprit en même temps
    nous sommes passés du rêve à la réalité et quelle réalité
    je me suis bien « marré » en lisant les commentaires (bravo Armelle et Gaëlle pour votre prose et toi aussi Pascal pour le choix des photos qui illustrent bien ce super séjour)
    comme dit l’expression, « on en a bavé mais ça valait le coup »
    si c’était à refaire, je resigne sans hésiter
    le bonheur d’y être arrivés tous ensembles, la joie de la cohésion du groupe et l’accueil mêlé de gentillesse de nos hôtes efface les difficultés (surmontées) qui ont fait la réussite de cette « expédition »
    pour tout ça, un grand merci OLD et vivement la prochaine fois

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