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Osons l’ascension du Mont PELAT, sommet situé dans le Parc National du MERCANCOURT : Ce mercredi 19 et jeudi 20 octobre 2022, nous sommes partis à 7h du matin de Valbonne avec Jean-Paul, sur la route vers cagnes-sur-mer pour rejoindre Olivier Marchal le cinéaste, mon acolyte, de là nous avons rejoint Gérard et Bernadette à Saint-Martin-du-Var.
Nous avons pris la route pour le Mercantour, par la vallée de Daluis. Le premier jour, nous commençons par une belle randonnée sur les hauteurs des gorges pour atteindre un point de vue sublime ! Nous sommes passés par le beau village de Saussette. Ce fut une belle marche bucolique, bien longue, histoire de nous échauffer et de nous mettre en jambes.
Le soir venu, au refuge de la cantonnière, nous avons été bien accueillis magistralement comme en juillet dernier, par Philippe et Anne-Marie. Nous avons pris une bonne douche et nous avons dégusté une excellente tartiflette aux sanguins. Après ça, nous nous sommes couchés cde bonne heure car ce jeudi matin le départ est à 7h30. Nous avons pris la route pour monter au col de la Cayolle et de là, démarrer à pieds pour vivre cette belle aventure, très riche en émotions !
Tout d’abord une belle montée pour atteindre le col de la petite cayolle. Puis une redescente afin de contourner une falaise infranchissable. Nous avons traversé de beaux paysages, de l’espace vraiment, et nous avons inspiré un super bon air pur. Nous étions accompagnés de bouquetins et de chamois. Ils sont restés tout proche, à peine étonnés de nous voir là parmi eux.
Cette belle marche a duré 9h, en gravissant 1000 m de dénivelé pour l’aller et pareil pour le retour. Mais c’était vraiment fabuleux et super ! Une fois arrivés au sommet du mont Pelat à 3050 m d’alt, nous avions une vue à 360 degrés, j’avais l’impression d’être le roi du monde !
Merci pour tout ça, Jean-Paul, Gérard, Bernadette et Olivier mon acolyte !
En arrivant, tout en haut, cent mètres avant le sommet, il faut se surpasser…, j’avais froid, je ressentais une certaine crainte face au chemin de plus en plus abrupt, escarpé. Les pierres roulaient sous les chaussures rendant la progression plus aléatoire et la sensation du vide, qui au gré des virages successifs, se situe d’un côté puis de l’autre …, j’ai eu un moment d’hésitation pour ne pas mettre en difficulté mes accompagnateurs du jour et puis j’ai pris sur moi, je me suis dépassé… Je peux vous le dire, ça valait vraiment le coup, merci encore ! C’était vraiment à faire !

Cédric Sylvestre .

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